La ville, pour le meilleur ou pour le pire, unit le peuple.
Riches, pauvres, royalistes, républicains, jeunes, vieux, tous vivent au même endroit. Des millions, des centaines de citoyens produisent et consomment ensemble, entre haine, amour ou indifférence.
Dans mes villes, au contraire, vit la pensée pure, sans feux de circulation.